Cuisi-n-art a fait un virage 4.0 dans la construction de sa nouvelle usine d’envergure. Nous sommes fiers de les avoir accompagnés dès le début de ce projet clé en main dans le quartier industriel près du boulevard de l’Aéroport.
BBL : Comment s’est déroulée la collaboration avec notre équipe?
Cuisi-N-Art : Dès le départ, BBL s’est dévouée dans le dossier. Nous avons senti leur ouverture d’esprit à construire un bâtiment à notre image. Autant la section salle d’exposition que l’usine 4.0 ont des particularités propres. La Covid n’a pas facilité nos communications. Malgré tout, j’ai senti une très grande disponibilité de la part de l’équipe, par exemple pour répondre à nos questions. L’équipe était très à l’écoute et très conciliante. C’était important vers la fin de finaliser la chaine de production pendant la construction. Les étapes de construction étaient donc complexifiées afin de continuer à opérer les machines!
BBL : Parlez-nous de vos technologies avant-gardistes.
C : Le concept « Industrie 4.0 » fait référence aux technologies numériques pour rendre les activités de fabrication plus agiles, souples et mieux adaptées aux besoins des clients. Cela permet à long terme une amélioration de la productivité, une réduction des coûts d’exploitation, une amélioration de la qualité globale des produits, une meilleure capacité d’innovation et une solution à la pénurie de main-d’œuvre. Mais cela vient avec un cout! Les chaines de production d’armoires, c’est très complexe.
Grâce à notre technologie à la fine pointe, nous sommes avant-gardistes au Québec et parmi les leaders au Canada.
BBL : Quelles sont les mesures apportées pour favoriser l’environnement?
C : L’usine utilise la lumière naturelle. Nous avons un système de récupération de chaleur : en hiver, la chaleur est redistribuée dans l’usine et en été, elle sort dehors pour éviter le surchauffement. L’usine a des planchers chauffants pour assurer un climat tempéré. Nous utilisons un éclairage avec des ampoules DEL.
Notre production essaie de limiter au maximum les pertes grâce aux machineries. Avec la manipulation physique d’humains, on perdait et brisait énormément de matériaux. Dans la chaine de production par exemple, nous avons un récupérateur de bran de scie. Notre empreinte écologique sera donc réduite à long terme.