Le Groupe Gestion Vallée dévoile son nouveau projet au cœur de Chelsea
La Trappe à fromage et Polo Vélo ouvriront leurs portes à l’hiver 2022.

Le Groupe immobilier Gestion Vallée, qui œuvre en gestion immobilière et développement, est fier de dévoiler son nouveau projet au cœur de Chelsea. Situé au plus haut point du centre de Chelsea, ce projet commercial et résidentiel deviendra certes un point de repère et un lieu de rassemblement pour les résidents, touristes et villégiateurs de la grande région de l’Outaouais. La construction de grande envergure de 19 000 pieds carrés sur deux étages débutant dans quelques jours comprendra des locaux commerciaux, ainsi que des condominiums résidentiels de luxe à l’étage.
« L’ouverture du complexe se fera au cours de l’hiver 2022, annonce le président Claude Bélec. Nous accueillerons entres autres la Trappe à fromage et Polo vélo. Nous tenons à remercier les partenaires de ce projet : BBL, A4, Sagenex, LCA, BDC, PME internotaire et RCGT. Il s’agit d’une première collaboration avec BBL construction qui s’avère fructueuse. »
Au cœur de Chelsea, le projet fera belle figure, avec ses grandes terrasses, le design des suites résidentielles haut de gamme et l’aménagement intérieur contemporain. Une station de réparation de vélo et des supports à vélo se trouveront à l’extérieur, tout près de Polo Vélo. De grandes fenestrations, du revêtement en bois et des bornes rechargeables pour autos électriques complèteront la facture visuelle.
Fiche du projet :
19 000 PC sur 2 étages
4 logements résidentiel et 6 locaux commerciaux
De la mode à la comptabilité
Kim travaille chez BBL depuis 2020. Après un saut à Montréal dans le domaine de la mode, elle est revenue en Outaouais pour être plus près de sa famille. Maintenant, elle s’épanouit en comptabilité avec de nouveaux défis chaque jour.
À quoi ressemble ton parcours professionnel?
J’ai un parcours plutôt atypique. J’ai étudié en design de mode en 2008 à l’Académie de Haute Couture Richard Robinson à Ottawa. À l’obtention de mon diplôme, je suis déménagée à Montréal pendant dix ans. J’ai baigné dans l’univers du spectacle entre autres en travaillant pour le Cirque du Soleil, le Washington Ballet, le Boston Ballet, le Cirque Éloize, différents chorégraphes et plusieurs autres projets adjacents. Au cours des cinq dernières années, j’ai eu l’opportunité de travailler pour la designer Québécoise de renom, Marie Saint-Pierre en tant que première main d’atelier.
Il est plutôt rare de voir quelqu’un occuper ce type de poste à un si jeune âge; dans les grandes maisons de luxe parisienne il faut avoir au moins 30 ans d’expérience! Je m’occupais en majeure partie de donner vie aux collections en supervisant une équipe de développement. Mon rôle consistait à comprendre la nature d’une inspiration et de lui donner vie à partir de rien, que ce soit à partir d’une image, une couleur, une matière…Il faut être très à l’aise avec toutes les matières inimaginables et être apte à créer, savoir lire et modifier les patrons en modelage. Les semaines de 70 heures étaient monnaie courante, il fallait avoir une grande capacité d’adaptation puisque le rythme était très rapide. Ma mission était de garder mon équipe hors de l’eau lorsque la pression et la fatigue étaient au maximum. Nous devions bien souvent reprendre des créations partiellement ou en entier à la dernière minute pendant que des acheteurs internationaux patientaient, calmement café à la main, dans la pièce d’à côté.
Nous avions en moyenne 7 à 8 collections d’environ 100 pièces à pondre annuellement toujours un an d’avance, sans compter les collaborations récurrentes entre autres avec les Hôtels Germain, L’Orchestre Métropolitain, Le galas Artis, Les Gémeaux et les créations sur mesure à travers l’Amérique.
En janvier 2020, mon conjoint et moi avons pris la décision de revenir en Outaouais plus près de nos familles. Nous sommes revenus en région pour reprendre un rythme différent plus près de la nature et du « il-n’y-a-aucun-trafic-ici »! Nous avons bien choisi notre momentum, puisque deux mois plus tard la pandémie arrivait.
Je berce l’idée d’avoir mon atelier depuis longtemps et d’y faire plein de projets ! Le côté cérébral que m’apporte la comptabilité me permet d’avoir une nouvelle liberté créative et d’avoir de nouveaux défis chaque jour. Je me réveille parfois la nuit pour écrire un bout d’idée sur un morceau de papier. Mes amis me font souvent la remarque que je n’aurai pas assez d’une vie pour réaliser tout ce que je voudrais y accomplir.
Quelle est ta plus grande fierté?
Être indépendante et autodidacte, il est à préciser que personne ne savait coudre dans mon cocon familial. Depuis, mon père s’améliore! Je suis déménagée à Montréal seule avec presque rien, ayant décroché des emplois à la hauteur de mes ambitions me rend vraiment fière. Je suis contente d’avoir pu aider des jeunes entreprises en démarrage avec mes connaissances et d’avoir eu un impact positif dans le milieu artistique Canadien. Mon portrait fut affiché au Musée des Beaux-Arts de Montréal pour l’exposition Montréal Couture pour souligner ma contribution au savoir-faire technique du Prêt-à-Porter en plus d’avoir participé à de nombreux documentaires sur l’industrie. J’en garde de très bons souvenirs.
Quels sont tes défis au boulot?
J’ai dû me familiariser avec le milieu de la construction et les nombreux enjeux et défis quotidiens. C’est vraiment stimulant de voir tous les nouveaux développements! Bien que la matière brute utilisée soit différente, le plan prend forme à partir d’une idée jusqu’au produit fini. C’est très semblable au processus de confection. Je suis fière de faire partie de l’équipe BBL, qui est, selon moi, le joueur avec l’expansion la plus rapide dans l’industrie en Outaouais.
As-tu un engagement dans la communauté?
Avant de déménager à la fin de mes études, j’ai eu l’opportunité de créer une petite ligne de vêtements afin de participer à la levée de fond pour le cancer du sein de la fondation Les rêves de Monique, bien connue ici en Outaouais. Depuis mon retour, je n’ai pas eu l’occasion d’en avoir dû à la pandémie, hormis de participer à des campagnes de financement auprès de Moisson Outaouais ou des enfants.
Quels sont tes projets d'avenir?
J’en ai trop! Sur le plan professionnel, je veuxcontinuer à m’épanouir en symbiose avec mon côté créatif. Comme on dit : Il y a toujours un avenir pour ceux qui pensent à l’avenir !
« Kim est tellement souriante et de bonne humeur. Chaque matin, elle dit bonjour à tout le monde. » - Sarah Bertrand, chargée de projet junior
« Kim est un vrai rayon de soleil! Son positivisme et son sourire sont un éternel réconfort. C’est un plaisir de travailler avec elle. » - Isabelle Massie, estimatrice
« Kim est très travaillante et apporte beaucoup de soleil à l’équipe. Passionnées toutes les deux de séries télévisées, on attend avec impatience le lendemain pour se parler des nouveautés. Son parcours éclectique, son cheminement dans le domaine de la mode et ses contacts du côté des artistes me font envier. » Sabrina Boucher, chargée de projet senior
L’accompagnement pour mener à terme tous les projets
« On va en chantier et on est capable d’amener les projets à réalisation, tout en respectant le budget. Les professionnels travaillent conjointement avec les sous-traitants, le meilleur des deux mondes pour les clients. » - Isabelle Massie, estimatrice chez BBL depuis 2017, assure un accompagnement personnalisé aux clients
Tous les chemins mènent à Rome!
Isabelle a un parcours éclectique. Après ses études secondaires, elle a voyagé en Nouvelle-Zélande. Des études au Cégep en arts plastiques et à l’université en sculpture l’ont amené… en Amérique latine. Elle a aussi obtenu sa carte CCQ comme carreleuse, ce qui l’a aidé à avoir une bonne compréhension de l’univers chantier… et payer ses voyages de jeunesse!
Après un DEP en cuisine professionnelle, un certificat en développement international et un cours en rénovation de bâtiments, elle a commencé à travailler chez Robert Gauvreau et fils construction. « J’ai beaucoup appris en gestion de projet commercial et en estimation pendant sept ans. »
Après du bouche-à-oreille, elle est arrivée chez BBL en 2017. « Comme estimatrice de bâtiments neufs, on fait beaucoup de design libre. On fait des estimations avec des schémas préliminaires (style macro) et des estimations plus précises avec des documents (style micro). Entre le moment où on fait le schéma préliminaire et qu’on l’amène à la construction, il y a des semaines de discussions et d’accompagnement avec le client. »
Ses plus grandes fiertés
Ce qu’elle apprécie particulièrement de son boulot est de participer au développement pour s’assurer qu’il soit viable à long terme. « On touche à tout. Par exemple, on a démarré le projet de Betralif en avant-projet en 2019 et maintenant les premières plantes sont arrivées et les premières récoltes auront lieu en mai-juin en 2021. La phase 2 débute en 2021. »
Betralif qui produit du cannabis médicinal est définitivement sa plus grande fierté. « C’est rare d’avoir la chance de passer à travers le processus complet, du développement de plans à l’opération à l’entretien et la maintenance. La complexité du projet a entraîné beaucoup de défis, en raison de l’environnement très contrôlé et règlementé. La culture était 100% intérieure, donc il y avait beaucoup de paramètres climatiques à respecter. »
Destination Vanier (avec la phase A qui se termine), le projet des Serres urbaines, le 193 Old Chelsea et les projets dans le Parc Labrosse complètent sa feuille de travail.
Que lui réserve l'avenir?
« Avec les enfants et la pandémie, je suis un peu prise dans un carcan dodo-boulot-lunch, déplore-t-elle. J’ai hâte de recommencer à voyager! Entretemps, je fais des randonnées en montagnes. On va bientôt se construire un pavillon et une serre. Avec notre jardin et notre projet d’hydroponie, on ne s’ennuie pas! »
Sur le plan professionnel, elle a un grand intérêt pour les projets environnementaux, ainsi que tout ce qui est plus complexe et technique. Elle nuance que le pouvoir sur les décisions environnementales est toutefois restreint aux volontés et au budget des clients. « Les mesures environnementales sont rentables à long terme, mais pas à court terme. Cela nécessite un plus grand financement initial, ce qui freine parfois les clients. »
« Isabelle m’a chapeauté au début de mon projet, elle est ma référence, souligne Mathieu Dallaire-Moreau. Elle a une belle expérience et beaucoup de connaissances et d’expertises. Elle m’a tellement appris au niveau technique et au niveau des étapes de gestion de projet. »
« Isabelle est compétente, intelligente, ouverte et accueillante », affirme Jessica Bertrand, chargée de projet junior.
3 raisons surprenantes pour lesquelles choisir le bois
Depuis quelques années, on note un engouement pour l’utilisation du bois dans les constructions résidentielles et commerciales. Et ce n’est pas pour rien ! Ce matériau naturel et vivant présente des avantages incomparables. Voici 3 raisons surprenantes pour lesquelles BBL Construction entend privilégier le bois pour ses projets immobiliers.
Le bois, c’est bon pour la santé !
Le bois a des effets notables sur la santé et le bien-être. Simon T. Bellavance, de CECOBOIS, rapporte qu’« en plus d’être chaleureux, la présence dans notre environnement induit un état de relaxation et aide à réduire le stress. » Physiologiquement, on note même une baisse de la pression artérielle et du rythme cardiaque.
« D’un point de vue social, on reconnaît aussi que le bois influence les interactions sociales et le niveau d’activité », souligne M. Bellavance. La concentration et l’attention s’en trouvent renforcées. Imaginez l’impact sur votre famille ou dans votre milieu de travail.
Le bois résiste bien au feu
Malgré les idées préconçues, les constructions en bois massif ont un degré de résistance au feu impressionnant. Les gros éléments comme le lamellé-collé ou les 8x8 carbonisent en surface, mais le centre s’en trouve préservé.
M. Bellavance donne un exemple éloquent : lors d’un incendie, une poutre en acier perd 50 % de sa charge structurale en 18 minutes, alors qu’il en prend 52 minutes pour une poutre de lamellé-collé. C’est une énorme différence ! Le bois massif apparaît donc comme un matériau fiable et prévisible en cas de feu.
Le bois permet de réduire l’empreinte environnementale
Le bois est issu d’une ressource renouvelable. Il permet de réduire notre empreinte environnementale de plusieurs façons :
- En tant qu’isolant thermique, il améliore l’efficacité énergétique ;
- Lorsqu’on analyse le cycle de vie d’une poutre de lamellé-collé, de béton armé ou d’acier, le bois ressort grand vainqueur : il produit beaucoup moins de gaz à effet de serre que les deux autres ;
- Lorsqu’on compare la poutre de bois massif au béton armé ou à l’acier, elle est la seule à séquestrer du carbone !
Le bois n’a pas fini de nous étonner. Même le Code national du bâtiment du Canada s’apprête à permettre des projets immobiliers d’envergure à base de bois, reconnaissant son impact et ses particularités dans les milieux de vie. À l’ère où la lutte contre les changements climatiques est inévitable, les commerces, les maisons et les bureaux mettant en valeur ce matériau naturel devraient être de plus en plus visibles dans les prochaines années.
Sources :
Atelier sur les systèmes préfabriqués de construction en bois – Bois stratifié croisé – Mass timber, présenté le 27 mai 2021 par le CREDDO, en collaboration avec Cecobois, Collectif Bois et l’Association de la construction du Québec (ACQ).
La biophilie ou les effets bénéfiques du bois
Plan Climat: BBL Construction à l’avant-garde
Les citoyens et les organismes avaient jusqu’à la semaine passée pour participer aux consultations publiques entourant le nouveau Plan Climat de la Ville de Gatineau. Dans l’optique de faire face aux changements climatiques et de réduire les émissions de gaz à effet de serre, le Plan Climat orientera les actions des prochaines années pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050.
La population a été consultée sur de nombreux enjeux, dont les bâtiments (le parc immobilier) ainsi que l’urbanisme et les infrastructures naturelles et bâties (l'aménagement du territoire).
BBL Construction en avance
Les nouvelles normes environnementales imposées par la Ville de Gatineau dans le secteur de la construction résidentielle et commerciale sont déjà adoptées et respectées par BBL Construction. En voici quelques exemples (liste non exhaustive) :
- Construire des toits verts ;
- Adopter un pavé imperméable pour les stationnements ;
- Privilégier les toits blancs ;
- Ajouter des facteurs isolants dans les bâtiments pour une plus grande économie d’énergie ;
- Contrôler les eaux pluviales ;
- Créer des stationnements souterrains pour limiter les ilots de chaleur ;
- Augmenter la présence d’arbres dans les stationnements pour diminuer les îlots de chaleurs et accroître la canopée ;
- Ajouter des stations de chargement pour les véhicules électriques ;
- Intégrer un filtre performant dans le vitrage (OI) ;
- Disposer de tous les déchets de construction dans des sites de tri ;
- Privilégier l’utilisation de matériaux régionaux ;
- Surveiller la consommation d’eau dans les appareils de plomberie ;
- Favoriser l’utilisation de planchers radiants ;
- Choisir des chaudières hyper performantes.
L’entreprise est toujours à la recherche des meilleures pratiques environnementales et cherche constamment à innover avec l’utilisation de technologies responsables et moins énergivores.
Dans le cadre de l’élaboration du Plan Climat, la démarche consultative visait à informer la population sur le réchauffement de la planète, à faire connaître l’approche de la Ville et finalement, à impliquer la communauté pour répondre aux enjeux globaux et proposer des actions.
Cuisi-n-art, projet à la fine pointe de la technologie
Cuisi-n-art a fait un virage 4.0 dans la construction de sa nouvelle usine d’envergure. Nous sommes fiers de les avoir accompagnés dès le début de ce projet clé en main dans le quartier industriel près du boulevard de l’Aéroport.
BBL : Comment s’est déroulée la collaboration avec notre équipe?
Cuisi-N-Art : Dès le départ, BBL s’est dévouée dans le dossier. Nous avons senti leur ouverture d’esprit à construire un bâtiment à notre image. Autant la section salle d’exposition que l’usine 4.0 ont des particularités propres. La Covid n’a pas facilité nos communications. Malgré tout, j’ai senti une très grande disponibilité de la part de l’équipe, par exemple pour répondre à nos questions. L’équipe était très à l’écoute et très conciliante. C’était important vers la fin de finaliser la chaine de production pendant la construction. Les étapes de construction étaient donc complexifiées afin de continuer à opérer les machines!
BBL : Parlez-nous de vos technologies avant-gardistes.
C : Le concept « Industrie 4.0 » fait référence aux technologies numériques pour rendre les activités de fabrication plus agiles, souples et mieux adaptées aux besoins des clients. Cela permet à long terme une amélioration de la productivité, une réduction des coûts d’exploitation, une amélioration de la qualité globale des produits, une meilleure capacité d’innovation et une solution à la pénurie de main-d’œuvre. Mais cela vient avec un cout! Les chaines de production d’armoires, c’est très complexe.
Grâce à notre technologie à la fine pointe, nous sommes avant-gardistes au Québec et parmi les leaders au Canada.

BBL : Quelles sont les mesures apportées pour favoriser l’environnement?
C : L’usine utilise la lumière naturelle. Nous avons un système de récupération de chaleur : en hiver, la chaleur est redistribuée dans l’usine et en été, elle sort dehors pour éviter le surchauffement. L’usine a des planchers chauffants pour assurer un climat tempéré. Nous utilisons un éclairage avec des ampoules DEL.
Notre production essaie de limiter au maximum les pertes grâce aux machineries. Avec la manipulation physique d’humains, on perdait et brisait énormément de matériaux. Dans la chaine de production par exemple, nous avons un récupérateur de bran de scie. Notre empreinte écologique sera donc réduite à long terme.